Les Escrocs de Tokyo : un thriller captivant d’arnaque immobilière
Disponible depuis le 25 juillet, la série japonaise « Les Escrocs de Tokyo » nous embarque dans une arnaque immobilière d’envergure, ficelée comme un excellent thriller.
Synopsis : Après avoir eu vent d’une propriété estimée à 10 milliards de yens, un groupe d’escrocs spécialisé dans l’immobilier se montre prêt à tout pour réussir son plus gros coup.
Utiliser de fausses identités et de faux certificats de propriétés, telle est la méthode employée par ce petit groupe d’escrocs pour vendre des biens immobiliers qui ne leur appartiennent pas. Le premier épisode s’attache à nous présenter l’équipe d’escrocs, et surtout la méthode employée pour récolter 1 milliard de yens d’une vente bidon. Les six suivants suivent pas à pas la nouvelle arnaque visant à vendre un bien situé en plein Tokyo, pour la modique somme de 10 milliards de yens.
Une opération d’envergure où chacun des membres à un rôle bien précis à jouer, sachant que le coup est risqué et que la police est sur leurs pas. Car Harrison Yamanaka, le chef de la bande, est loin d’être un inconnu pour l’inspecteur qui le traque depuis des années. Accompagné d’une jeune débutante, il compte bien réussir à le mettre derrière les barreaux.
L’ensemble est bâti comme un thriller où la pression monte petit à petit, au fur et à mesure que l’arnaque se met en place. D’un rythme plutôt lent, « Les Escrocs de Tokyo » se montre captivant au fil des épisodes. Doté d’une belle photographie, la série s’appuie également sur un casting très séduisant. Le vétéran Etsushi Toyokawa (« Midway« ) plante à merveille le cerveau du groupe, personnage violent aux allures de psychopathe. A ses côtés, Go Ayano (« Old Rookie« , dispo sur Netflix) est tout aussi convaincant.
Inspiré du roman à succès de Shinko Ko, cette nouvelle série japonaise offre un thriller violent et passionnant, que les amateurs du genre sauront apprécier.
« Les Escrocs de Tokyo« , de Hitoshi Ône, saison 1, disponible sur Netflix.
Credit photos (c) Netflix.
