La meute : une saison 2 captivante pour le thriller féministe chilien

Deux ans après une première saison captivante, la série chilienne « La meute » revient pour un nouveau round d’épisodes, tout aussi passionnant que le précédent.

La traque aux prédateurs sexuels et la lutte contre les maux qui gangrènent la société chilienne reprend de plus belle sur arte.tv. La première saison de ce thriller féministe voyait un trio de femmes policières démasquer « le loup » et le jeu pervers du même nom. Dans cette deuxième saison, la traque s’étend désormais à « la meute », un groupe d’extrême-droite composé (entre autres) de hautes personalités de l’Etat, où la corruption règne en maître.

Composé de huit épisodes, cette nouvelle saison débute avec la découverte du cadavre d’une jeune fille lors d’une fiesta en bord de mer. La commandante de police Olivia Fernández est envoyée sur place pour enquêter. Dans le même temps à Santiago, le groupe de jeunes filles/hackeuses continue la lutte contre « la meute », dirigée par Claudio Valenzuela, ancien général de l’armée. Et bien évidemment, les deux « affaires » ne font, en réalité, qu’une.

Une deuxième saison qui s’affiche dans la continuité de la précédente, sans tomber dans le piège de la répétition. Les violences faites aux femmes et la corruption qui gangrène la société chilienne restent en toile de fond de ce thriller, aussi passionnant que révoltant. L’ensemble des protagonistes de la première saison est de retour, à commencer par le trio d’enquêtrices composé d’Antonia Zegers, Maria Gracia Omegna et Daniela Vega. Du côté des jeunes, Paula Luchsinger, Mariana Di Girolamo, Antonia Giesen, et Clemente Rodriguez sont également de la partie.

Créée par Sergio Castro et Enrique Videla, « La meute » délivre une deuxième saison haletante et passionnante de bout en bout. En attendant la confirmation d’une éventuelle troisième saison (qui serait envisagée), les deux premières saisons sont disponibles sur arte.tv.

« La meute« , saisons 1 et 2, disponibles sur Arte.

Credit photos (c) Fremantle / Fabula / Arte.

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