« Post Mortem : Personne ne meurt à Skarnes », une pépite norvégienne rocambolesque

Disponible depuis quelques jours sur Netflix, la série « Post Mortem: Personne ne meurt à Skarnes« , nous emmène en Norvège, où une femme revient d’entre les morts avec une soif de sang incontrôlable.

C’est donc l’histoire de Live Hallangen. Retrouvée morte dans un champ, la jeune femme se réveille mystérieusement lors de son autopsie à la morgue. Très vite, elle comprend que quelque chose en elle a changé. Certains de ses sens sont décuplés, mais surtout son appétit pour le sang est insatiable. Dans le même temps, son frère tente de sauver l’entreprise familiale de pompes funèbres au bord de la faillite. Car jusqu’à présent, personne ne meurt (ou presque) à Skarnes. Et si le côté vampire de sa soeur permettait à la société de prospérer à nouveau ?

Les séries de vampires sont légion à la télévision, mais celle-ci offre quelque chose de différent. Dès le début, on comprend que les scénaristes ont mêlé plusieurs genres à leur histoire. Le drame tourne très vite à la comédie (noire) avec des personnages attachants, et des situations rocambolesques. Soyons clairs, les événements s’enchaînent, souvent de façon incontrôlable, et le spectateur est happé par ce méli-mélo de grand n’importe quoi. Et c’est toute la réussite de la série. La condition de Live, le duo de flics hilarant, et la candeur du frère ignorant tout de la situation, font de cette première saison, une pépite télévisuelle très originale.

Créée par Petter Holmsen, « Post Mortem: Personne ne meurt à Skarnes » n’est pas une série de vampires à proprement parler. Une comédie dramatique rocambolesque où certains n’adhèreront peut-être pas, et où d’autres dévoreront les 6 épisodes d’un trait.

« Post Mortem: Personne ne meurt à Skarnes« , saison 1, disponible sur Netflix. Avec Kathrine Thorborg Johansen, Elias Holmen Sørensen, Andrée Sørum et Kim Fairchild.

Credit photos (c) Netflix.

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