Quelqu’un doit mourir : des secrets familiaux virent au drame, et c’est passionnant !

Quelqu’un doit mourir est l’une des nouveautés de la semaine sur Netflix. Une nouvelle mini-série en trois épisodes seulement, qui nous plonge au coeur de l’Espagne des années 50, pour un drame familial où secrets, mensonges et trahisons sont au menu.

Après avoir passé 10 ans loin de la guerre au Mexique, le jeune Gabino est de retour en Espagne dans la maison familiale, où vivent ses parents, sa grand-mère et la bonne. Mais le jeune homme ne revient pas seul. Il est accompagné de Lazaro, un jeune danseur de ballet dont il s’est lié d’amitié pendant son exil. Le père de famille a pour ambition de marier son fils à la belle Cayetana (Ester Exposito), fille de bonne famille de la haute société locale. Mais Gabino refuse catégoriquement, et les rumeurs d’homosexualité le concernant ont vite fait de se propager. Et dans l’Espagne franquiste des années 50, cela est tout simplement un crime. D’autant plus que le père de Gabino est le sous-directeur de la sûreté. De mystères en mystères, le drame familial a vite fait de se mettre en place, et forcément, cela va mal finir : quelqu’un doit mourir ! Mais reste à savoir qui ?

Avec seulement trois épisodes, inutile de dire que cette mini-série ne s’attarde pas en route. Tout est monté comme une pièce en trois actes, où l’intrigue progresse à vitesse grand V. Les personnages ont tous des secrets, et l’ensemble s’avère vite passionnant et convaincant. En plus de décors et costumes superbes, Quelqu’un doit mourir s’appuie sur un casting au top. Aux côtés d’Ester Exposito (Elite), nous retrouvons Alejandro Speitzer (La Reina del Sur), Carmen Maura, Ernesto Alterio (Narcos: Mexico), Carlos Cuevas (45 Tours) et Cecila Suarez (La Casa de Las Flores). Rien que du beau monde déjà vu ici et là sur Netflix notamment.

En résumé, cette nouvelle mini-série est une réussite totale, et vient s’ajouter à la longue liste des productions espagnoles de grande qualité signées Netflix. Avec des thèmes toujours d’actualité de nos jours, comme l’indépendance des femmes, les unions forcées ou l’orientation sexuelle, les trois épisodes offrent une plongée fascinante dans l’Espagne des années 50.

Quelqu’un doit mourir, créée par Manolo Caro, disponible sur Netlix.

Credit photos (c) Netflix.

Une pensée sur “Quelqu’un doit mourir : des secrets familiaux virent au drame, et c’est passionnant !

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Résoudre : *
23 + 6 =